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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 13:36

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Ne pas te rendre cet hommage tant mérité serait faire montre d’une ingratitude monstrueuse, tant ta gentillesse, ta disponibilité, ton ouverture et ta vision du monde étaient appréciés de tous.

 

Repose en paix Maguette, nous qui avons eu la chance de te connaître sur le plan professionnel il y a de cela près de dix ans pouvons affirmer que tu avais de grandes qualités morales, intellectuelles et professionnelles; une personne d'une extrême gentillesse, sans histoire, serviable et dotée d'un grand sens de l'humour.

 

Petite sœur, Max, comme on t’appelait si affectueusement, ton retour à Dieu nos a plongé dans une tristesse indescriptible de par sa soudaineté et sa brutalité. A la fleur de l’âge tu t’en es allée avec toutes ces idées, tous ces projets qui bouillonnaient dans ta tête et que tu avais l’ambition de matérialiser. Mais hélas, Allah en a décidé autrement. Que sa volonté soit faite.

 

Dire que lorsque je suis venu te voir le jeudi dernier tu étais en pleine forme et que rien ne laissait présager ce terrible évènement.

 

Depuis Manooré FM tu avais ce sens de la perfection et je peux témoigner que tu étais souvent la dernière à quitter la radio et nous étions toujours là pour t’accompagner jusqu’à la maison parce nous savions que tu te battais pour le bien de la radio. Et selon les témoignages recueillis, c’est avec ce même engagement que tu as rejoint Radio Dunyaa Vision où tu avais fini d’imprimer ta marque.

 

Sois sûre que resteras toujours dans nos cœurs et nous ne cesserons de te porter dans nos prières jusqu’au jour où nous te rejoindrons.

 

Que El Hadji Baye NIASSE pour qui tu avais une dévotion très particulière t’introduise auprès d’Allah afin que Lui, le Miséricordieux, t’offre le Paradis comme Maison éternelle. ALAHOUMA AMINE.

Adieu MAX !

Repose en paix. QUE ALLAH SOUBHANA WA TALLA T'ACCEUILLE DANS SON PARADIS ...AMINE.

Papis SAMBOU

Journaliste – Consultant en Droits Humains

 

oukout@hotmail.fr

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 20:26

Ce lapsus de Farba Senghor est très révélateur, il voulait certainement dire: « Hier c'était Idrissa et aujourd’hui c'est Karim ». Le seul hic c’est que Idrissa Seck, c’est vous du PDS qui l’aviez accusé, trahi, humilié et puis blanchi. Et vous voulez aujourd’hui vous indigner parce que Karim a été mis aux arrêts ! Les amis, il faut être conséquent, aucun pouvoir n’est éternel !

 

La traque des biens mal acquis est une exigence du peuple sénégalais par conséquent, n’attendez pas que ce même peuple vienne vous soutenir dans votre démarche. On ne peut pas vouloir une chose et son contraire. L’histoire se répète mais le vent a tourné et pas en votre faveur. Arrêtez donc de vouloir nous faire croire que ceci est un combat politique. De toute façon, on a vu pire sous votre magistère. Et rassurez-vous, nous sommes tous des croyants et jamais nous ne prierons pour qu’un être humain, fut-il notre pire ennemi, aille en prison.

 

J’avais l’habitue dans mes contributions antérieures d’affirmer que Wade père n’était pas en train de rendre service à son rejeton, que  certains confrères appelait ironiquement « Ministre du ciel et de la terre » tant ses pouvoirs étaient illimités, en le mêlant à toutes les sauces. Au vue de l’évolution  des évènements, l’histoire e donne raison à tous ceux qui pensaient comme moi.  

 

Laissez Aliou Ndao tranquille, il n'est pas le Magistrat chargé de condamner ou de relaxer Karim, il instruit à charge un point c’est tout. Si Karim n'a rien fait d'illégal, alors il sera libéré sans condition par les Juges de la Commission qui eux, instruisent à charge et à décharge. Jusqu’à preuve du contraire, les Magistrats Sénégalais sont intègres et indépendants.

 

Si par contre Karim Wade est coupable d'enrichissement illicite, là alors, la loi sera appliquée dans toute sa rigueur, juste pour servir d’exemple car l’impunité ne doit plus être de mise dans ce pays. Par ailleurs, il ne faut pas perdre de vue qu’il y a des Sénégalais qui croupissent actuellement en prison en attendant leur jugement, des gens qui ont milité au PDS bien avant Karim Wade, et il n’y a pas eu tout ce tintamarre (Modibo Diop, Ndèye Awa Guèye, Baila Wane, Aïdara Sylla entre autres). Wade junior n’est pas plus méritant qu’eux.

 

Au fait, je crois que vous ne vous agitez pas pour défendre Karim, mais parce que vous vous reprochez quelque chose et vous avez peur. C'est la panique chez tous les arrogants du PDS. Tous ceux qui faisaient la pluie et le beau temps, ceux-là qui faisaient le gros dos et s’amusaient avec l'argent du peuple comme bon leur semblait sont aujourd'hui dans une panique totale. Les Sénégalais ne doivent donc pas s’inquiéter des déclarations comme celle de Farba puisqu’on en comptera des dizaines chaque jour.


Le peuple demande à la Justice de ne faire machine arrière sur aucun dossier. Il faut que dans ce pays, les gens sachent qu’il y a une obligation de rendre compte  et que ceci est une exigence démocratique, de bonne gouvernance et de l’Etat de droit. Voilà pourquoi le PDS a été viré, c’est pour que les Sénégalais sachent où sont passés tout ces milliards dont ils entendaient parler. Et ce peuple ne peut pas vouloir une chose et son contraire.

 

D’ailleurs, qui avait emprisonné Idy ? Qui avait emprisonné Abdou Latif Guèye? Et Bara Tall ? Quelle courte mémoire ? Les sorciers crient maintenant aux sorciers. Après avoir accusé à tort Abdou Latif Guèye et ces gens du PDS l’ont réhabilité en faisant de lui un député et jusqu’à présent on se pose des questions sur ce qui s’est réellement passé sur cette fameuse route de Tambacounda où il a trouvé la mort.

 

Sous ce rapport, le Sénégal doit se débarrasser des vermines qui constituent un cancer pour ses dignes enfants. Farba le pyromane qui n'a pas encore justifié ses avoirs doit faire attention.

 

Que l'Etat ne recule point. Tous ceux qui avaient géré nos sous doivent rendre compte. Pas de médiation ni d'intervention maraboutique. Les Sénégalais sont fatigués : l'hivernage approche à grand pas et les sinistrés auront besoin d'être relogés. Et pendant ce temps des Sénégalais qui ne sont guère plus méritants roulent avec des bagnoles qui coûtent des millions volés au peuple. Quid de leurs villas à centaines de millions ? Que justice soit faite pour l'amour de Dieu.

 

Qu’ils tremblent ces qui ont pillé l’argent du peuple, Justice de mon pays, je te fais confiance !

 

Papis SAMBOU

Journaliste – Consultant en Droits Humains

oukout@hotmail.fr

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 14:25

Ce que le peuple retiendra de Wade futur-ex Président du Sénégal

Oui ! M. Wade, POUR UNE FOIS, a tenu sa promesse ... il a félicité son vainqueur (cette promesse ne fait apparemment pas partie de celles qu’il a décidé de ne pas respecter !) ; même si tout le monde sait qu’il l’a fait à son corps défendant parce que contraint et forcé, tellement la débâcle et la désillusion  furent énormes et il voulait, (c'est la motivation profonde de son acte d’humilité inhabituel), éviter d'ajouter à l'humiliation que ce peuple qu’il a méprisé pendant tout son magistère lui a infligé. (Le Magistrat Youssoupha TOURE, ex-Président de la CENA, qu’il avait sommé de démissionner doit rire sous cape).
Mais, attention car, comme d’habitude, il est en train de ruser en essayant de montrer à la face du monde qu’il est zen, pépère quoi, malgré l’humiliante déroute électorale et qu’il a fait mieux que Diouf parce que d’abord il aurait pu traficoter les résultats grâce à « sa télévision » et qu’ensuite il a appelé M. SALL pour le féliciter. (Celui-là même  qu’il  considérait naguère comme quantité négligeable). Tout cela est faux comme toujours, il cache son jeu et, est encore en train de jouer un autre rôle. Mais il devrait savoir qu’à son âge et la sagesse que cet âge est censé lui inculquer, que la ruse, la mauvaise foi, le mensonge, la roublardise, le fait de se dédire ne peuvent constituer des terreaux fondateurs d'une vie…et que tôt ou tard une vie bâtie sur ces fondations finit toujours très mal.
Le peuple retiendra mais oubliera très vite «ses» réalisations qui étaient franchement très loin ses préoccupations et besoins primaires, c’est pour ne pas les nommer ces soi-disant chantiers surfacturés à souhait, la corniche que seule une minorité utilise, l’inutile grand théâtre puisque SORANO existe déjà, l’abjecte statue de la renaissance africaine, le poreux souterrain de Soumbédioune et tutti quanti.
Après sa défaite Wade a déclaré qu’il est Sénégalais et qu’il ne compte pas bouger d’un iota. Soit, il a sa place dans ce pays, cependant le Sénégal et les Sénégalais se souviendront de tous ses méfaits chaque fois qu'ils le croiseront dans la rue. Ils ne sont point amnésiques. Ils n’oublieront JAMAIS.
Amath Dansokho avait raison d’affirmer que Wade n’a mobilisé que les bas-fonds de la société et qu’il est mal entouré. Et de plus, Dieu n’aime pas les traîtres car au lendemain de l’alternance tous ceux qui avaient joué un rôle déterminant ont été tour a tour virés comme des malpropres et/ou pestiférés ; Wade a préféré s’entourer des délinquants à col blanc de l’ancien régime socialiste et de gens sortis d’on ne sait où : du fou du village aux laudateurs les plus zélés, en passant par de fieffés menteurs qui lui faisaient croire qu’il était le plus beau, le plus doué, le plus généreux, le plus grand travailleur, le plus diplômé du Caire au Cap, qu’il serait éternellement dans le cœur des Sénégalais, lui le Kim Jong-il du Sénégal, demi-dieu sur terre, histoire de lui soutirer des espèces sonnantes et trébuchantes. D’où un bilan, au bout des 12 ans de règne, macabre et tragique. Que de morts dans l’indifférence, que de brutalité policière gratuite, que d’arrestations arbitraires etc. Pire, l’arrogance, le mensonge, l’amateurisme, l’autoritarisme, le népotisme, la corruption, la mesquinerie, l’hypocrisie sont érigés en mode de gouvernance, de conduite et de promotion sociale, tandis que la vertu, la droiture, le mérite, le respect de la parole donnée et la sacralité des Institutions, sont devenus des tares.
«Les Sénégalais sont ou des lâches ou des vendus et que chaque Sénégalais a un prix» avait-il l’habitude de nous ressasser. Mais heureusement, nous avons été soulagé au soir de ce mémorable 25 mars 2012  de savoir qu’il a été laminé par celui-là même qu’il avait injustement humilié en le renvoyant, comme un crasseux, de l’Assemblée Nationale lorsqu’il a voulu auditer Wade junior, alors tout puissant président de l’ANOCI. Et, par la même occasion ces Sénégalais qu’il croyait pouvoir tous acheter, lui ont montré qu’il s’était complètement gouré sur leur compte : La majorité de Sénégalais est toujours restée DIGNE et dépositaire de leurs valeurs ancestrales. Tous ne sont pas achetables.
Et ce grand et magnifique peuple debout, fier et digne attend du nouveau régime qu’il fasse toute la lumière sur les nombreuses zones d’ombre de gestion du régime de Wade. Oui, il doit, au nom de l’orthodoxie financière et de la bonne gouvernance rendre compte sinon le peuple est en droit d’occuper la rue pour réclamer plus de rigueur et de clarté dans la gestion de la chose publique. L’impunité ne peut pas prendre le relai de l’impunité. Le peuple en a marre de ce "masla" qui n’a que trop duré et coûte cher à la république et aux citoyens. Le nouveau régime doit poser des bases claires de la refondation de notre république au risque de se voir désavouer lors des prochaines législatives. D’ailleurs l’opposition et la société civile ne doivent plus être laxistes vis-à-vis du nouveau régime. Il faut aller vite en veillant sur tous les pas que  va poser le nouveau gouvernement car le régime libéral nous a donné à suffisance de leçons pour que nous restions passifs. C’est ce qui fera que tous ces martyrs, (qu’ils reposent en paix), ne seront pas morts pour rien et c’est aussi la condition sine qua non d’un partage équitable des ressources de notre si beau  pays et de son développement harmonieux.
Vive le Sénégal ! Vive la Démocratie ! Paix aux Hommes de bonne volonté.
                                                                                          Papis SAMBOU
                                                                                      Journaliste – Consultant
                                                                                             oukout@hotmail.fr

 

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11 février 2011 5 11 /02 /février /2011 13:11

 

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"Il y a des indulgences qui sont des dénis de justice." Joseph Joubert, Carnets. 

 

Les indulgences constituent, dans la religion chrétienne, un moyen pour le fidèle repenti, de se racheter par de bonnes œuvres, en faisant don à l'Eglise ou aux pauvres, de richesses dont il s'allège pour voir sa peine allégée à  son tour. Cette pratique concevable en soit a été fortement biaisée par l'Eglise catholique en son temps. A telle enseigne qu'elle a vu d'illustres théologiens la contester, non dans son esprit, mais plutôt dans sa lettre. Car les indulgences ne sauraient signifier selon eux une parfaite absolution de pêcheurs récidivistes et irresponsables.  

Loin du moyen âge, et de l'Occident, les indulgences, politiques cette fois-ci, sont convoquées, sous une autre forme, par notre cher Prince des tropiques, le tout-puissant Kandide Wade. Se prononçant sur sa gestion de l'énergie, le Prince des tropiques, triomphalement propulsé à la tête de ce département par son éclairé père de président, n'a trouvé d'autre recette, que de nous demander d'être indulgent avec lui.

 

Quoi ? N'est-ce pas lui qui, jusqu'à peu, nous était présenté comme la providence faite homme ? N'est-ce pas lui, Karim, fils de Wade, éminent ingénieur financier, adepte de montages, d'emprunts exceptionnels et d'infaillibles demandes de dons ?

 

Quoi, ce Zorro des finances, qui seul, sur douze millions de sénégalais, mérite l'attention et la confiance du chef de l'Etat, aurait-il, brusquement, perdu de sa superbe ? Ou alors, la Sorbonne ne serait-elle plus la Sorbonne ? Non, il y a certainement anguille sous roche. Comment ? Notre inespéré sauveur, notre espoir, notre lumière venue de loin, se mettrait-elle, brusquement, à s'éteindre ? Car Karim Wade, l'homme qui n'a jamais perdu, l'homme qui a gravi le plus rapidement les rampes de l'administration, celui qui, de courtier quelconque d'une banque s'est réveillé conseiller financier d'un président, pour devenir, d'un seul coup, ministre d'Etat, serait-il - déjà, arrivé au début de ses limites ? 

L'homme qui, à lui tout seul, s'est vu confier la terre, le feu, le ciel et les airs, comment celui-là pourrait-il tomber en panne…d'inspiration ? Et demander  aux populations et à ses bien-dévoués représentants d'être indulgents à son égard à propos de la crise énergétique… 

Non, nous n'osons le croire Sire. Majesté Wade junior, souffrez que nous doutions de vos propos. Permettez que nous invoquions la fameuse théorie du complot qui serait, ici, conspiration. 

 

Sans doute voulez vous simplement nous surprendre. Nous surprendre, nous qui commencions à nous convaincre que le retour à la bougie n'était plus une fatalité ; nous qui, avec votre nomination, pensions, enfin, que le mot délestage serait d'un seul coup, vieilli, car banni du dictionnaire de notre vécu quotidien. 

 

Comment voulez-vous nous faire croire que votre foudre tant vantée par votre père n'était que poudre chinoise : brillante et brûlante. Mais guère durable et efficace : du toc ! Comment pensez-vous nous convaincre que vous n'êtes qu'un simple mortel parmi les mortels, nous qui nous étions habitués à vous rêver en héros redresseur de torts, en Robin des bois des tropiques, en Lucky Lucke des savanes ? 

 

Non, altesse ! Vous ne pouvez, vous ne devez rompre ce mythe dont on a si besoin. Ce mythe essentiel qui seul nous pousse à nous taire encore lorsque votre père prend presque le quart de la nation et vous le confie à vous, tout seul.  

 

Vous devez encore nous laisser croire que vos mains sont, non seulement expertes, mais presque miraculeuses. Que tout ce à quoi vous touchez, fut-il de la boue, se transforme en or.  

 

Inventez, s'il le faut ; semez la confusion, si nécessaire ; affabulez, si l'envie vous en prend. Mais, de grâce, Altesse des tropiques, ne nous laissez pas mourir sans espoir. Ne nous faites pas croire au contraire de ce en quoi on a jamais voulu croire et, qu'enfin, à force d'entendre votre père en plaider la cause, nous avons crû ,finalement: que vous êtes un génie, un énorme génie, un miracle vivant. Alléluia ! 

 

Grâce à vous, et vous ne le savez sans doute pas, tant votre modestie est sans bornes et votre désintéressement, sans limites, nous nous sommes souvenus de nos cours du moyen secondaire. Nous avons, surtout, retenu que le décollage économique du Japon, qualifié de miracle, portait le nom de Meiji. Et vous, curieusement, vous vous faites surnommer Meissa.  

A telle enseigne qu'on avait fait le parallèle, en pensant que Meissa était le nom tropicalisé, mal prononcé par nos grands-parents, qui assimilent si mal les langues étrangères, de Meiji ! 

 

Vous et votre père nous avez fait accepter que nous autres, fils d'autrui, valons si peu en face de vous, vous, fils de Wade, Père de la nation. Nous en avons souffert,  dans nos viscères et dans nos chairs. Nous avons fini, comme d'habitude, par abdiquer, et croire que nous avions tort. En avouant votre impuissance, et en rallongeant le délai d'un retour à la normale de l'électricité, vous électrocutez nos rêves. Vous calcinez nos prétextes, ces remparts robustes qui nous cachaient notre lâcheté de citoyens à deux sous.  

 

Si, en vous adressant de la sorte aux citoyens consommateurs d'électricité, votre vœu, seigneur Karim, a été de vous humaniser, vous qu'on nous avait vendu comme un demi-démiurge, c'est peine perdu. Vous aviez demandé le sommet, adoubé par votre père qui vous faisait apparaitre comme l'unique solution aux problèmes ténus de notre république. Vous l'avez obtenu. Maintenant que vous y êtes, restez-y et faites vos preuves.  Accommodez-vous du sommet, même si le  sommet ne s'accommode point du vous.

Ku weet xam sa bopp ! 

 

 (Lu pour vous)

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11 février 2011 5 11 /02 /février /2011 12:04

C est fou ce que la langue française contient des subtilités. En voici quelques exemples frappants, et pas machistes du tout, comme d'habitude....

Un gars : C'est un jeune homme

Une garce : C'est une pute

Un courtisan : C'est un proche du roi

Une courtisane : C'est une pute

Un masseur : C'est un kiné

Une masseuse : C'est une pute

Un coureur : C'est un joggeur

Une coureuse : C'est une pute

Un rouleur : C'est un cycliste

Une roulure : C'est une pute

Un professionnel : C'est un sportif de haut niveau

Une professionnelle : C'est une pute

Un homme sans moralité : C'est un politicien

Une femme sans moralité : C'est une pute

Un entraîneur : C'est un homme qui entraîne une équipe sportive

Une entraîneuse : C'est une pute

Un homme à femmes : C'est un séducteur

Une femme à hommes : C'est une pute

Un homme public : C'est un homme connu

Une femme publique : C'est une pute

Un homme facile : C'est un homme agréable à vivre

Une femme facile : C'est une pute

Un homme qui fait le trottoir : C'est un carreleur

Une femme qui fait le trottoir : C'est une pute

 

(Lu pour vous).. souriez!!!

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11 février 2011 5 11 /02 /février /2011 11:53

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Après Touba où il avait dévoilé à la face du monde qu’il soutenait la candidature d’Abdoulaye WADE, le voici à nouveau à Tivaouane pour crier à la face du monde son idylle, qu’il veut ancienne, avec le pape du SOPI.

« Allez fouiller dans les archives, vous verrez ma trace. Pour dire que j’ai toujours été avec lui, même du temps de l’opposition », a expliqué Demba Dia. A en croire Demba Dia, ce que Wade a réalisé, aucun pouvoir ne l’a réussi au Sénégal. « Depuis les années 80 à nos jours, il est le seul président à avoir fait de telles réalisations. Son bilan est positif. Vous n’avez qu’à jeter le regard sur les nombreux hôpitaux qu’il a construits, la hausse des salaires et même le budget alloué à l’éducation », dit-il. Avant de lancer : « C’est la démocratie totale. »

Et ce monsieur est un « Cheikh » ! Si tout ce que tu dis est vrai pourquoi créer un parti il fallait créer un mouvement de soutien ? Je crois savoir  que tu es un musicien, alors contentes-toi de nous faire vibrer.

En plus d'un " chanteur" plus que médiocre, voila un crétin avéré dont les caisses ont fondu, faute de n'avoir pas pu optimiser ses placements dans la musique !! Pour se renflouer, tout le monde sait que la caverne D'ALI BABA c'est le palais, il y a des sacs partout avec "notre argent ", le vieux en donne à qui lui chante ses louanges et à tous ceux qui sont prêts à vendre leur âme au diable pour de l'argent !! Xalaas !! Aucune dignité.

Encore un opportuniste qui deviendra bientôt ministre à l'instar de Serigne Mbacké NDIAYE !

Il est tout comme son idole ...un hors la loi....


Les Sénégalais sont aujourd'hui beaucoup plus
pauvres, nos établissements sanitaires sont de véritables mouroirs et le système éducatif est le reflet du niveau de Farba SENGHOR et ....Demba DIA.

 

Que faire me direz-vous ? En effet, la connerie ni d'âge, ni de religion, ni de patrie, ELLE EST HUMAINE !! Lui c'est un crétin comme il y a en partout, mais il est visible et montre ses conneries à tout le monde sans s’en rendre compte ! ! APRES LA FETE L'IDIOT RESTE TOUJOURS IDIOT!!!

 

Boum boum boum : Wata watt.

Papis SAMBOU

Journaliste – Consultant

oukout@hotmail.fr

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 18:02

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Tout d’abord, comme vous le savez Amnesty International n'est pas une organisation bananière. C'est l'une des organisations de défense des Droits Humains les plus anciennes et les plus rigoureuses dans le traitement de l'information.

Son indépendance et son impartialité lui donne respect et considération, c'est un mouvement international de plus de deux millions de membres et, est présent dans cent cinquante pays et territoires à travers le monde. Amnesty n'est contre aucun pays. Son seul combat depuis 1960 n'est rien d'autre que de faire respecter la vie,  la dignité humaine et de dénoncer toutes les violations relatives aux dérives de toutes sortes en rapport avec le non respect de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH). Tout le monde connait le sérieux d'Amnesty International dans le traitement de l'information.


A tout point de vue, le rapport d'AI, sur le Sénégal fait froid dans le dos. Et le comble de l'ironie, c'est que, c’est le Ministre de la communication et des télécommunications, porte-parole du Gouvernement qui vient de conforter exactement Amnesty dans son rapport: il use de la dénégation et surtout évoque un système judiciaire laxiste sur la torture. Quand aucune enquête, je dis bien aucune enquête n'aboutit, rien n'est fait quand des cas de tortures avérés sont dénoncés dans le rapport, quand de simples citoyens font l'objet des pires formes de sévices corporelles. Quand un Ministre peut vivre dans l'indignité pour justifier pareil comportement du Gouvernement Sénégalais, cela devient très préoccupant. Et le plus grave dans cette affaire, c'est que cela peut arriver à tout le monde, je dis bien tout le monde sans exception aucune. Alors on comprend que le silence sur ces actes odieux est juste inacceptable.

Tout Sénégalais digne de ce nom doit avoir honte en lisant le rapport. Le nombre de morts dans nos prisons me fait frissonner. « Something is definitely wrong » (traduisez : «indubitablement, quelque chose va mal ».

Vivre de mensonges n’est pas bon, il faut arrêter de vous mentir et de nous mentir. Vouloir défendre le roi ne doit aucunement vous faire vivre de mensonges.

Pourquoi ils sont morts dans les locaux de la police ou de la gendarmerie ?

D’ailleurs, pourquoi oublie-t-il, volontairement le cas d’Abdoulaye Wade Yinghou, ce jeune homme qui est mort dans le commissariat de
police de Yeumbeul ?

Ce ministre à l'image du gouvernement fait preuve d'une belle nullité.
Autant de fautes dans son texte sans compter les incohérences.

Et comble du ridicule, il ne cesse jamais d'évoquer la France. Quand
cessera-t-on de tout ramener ou comparer à la France? C’est vraiment lassant.

Si ce ministre nous prend pour des demeurés, c'est qu’il n’a rien dans la tête. Du reste il a peut-être raison, car il n'est guère pire que ses collègues. Quand je pense à la réaction de Fada; qui disait une fois élu ministre de la santé : « je vais travailler pour la réélection de Wade! ».

Shame on you ! « Honte sur vous », d’abord vous ne savez même pas pourquoi vous êtes nommés « ministre » ensuite, suite logique, vous êtes incapables de prendre en charge les préoccupations des populations ainsi que les priorités de ce pays que vous avez fini de mettre à genoux.

 

* Titre du rapport d’Amnesty International sur le Sénégal

 

Papis SAMBOU

Journaliste – Consultant

oukout@hotmail.fr

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 17:58

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Ces temps derniers, il est beaucoup question des effets pervers de la mendicité. Il a y eu à travers la presse des débats passionnés, des arrestations et des rafles. Ce, il faut bien le préciser, à la suite d’une déclaration du Premier Ministre. Humblement, à travers ces lignes qui suivent, nous donnons notre point de vue pour contribuer à un débat qui devrait être serein et lucide. De quoi s’agit-il exactement ?

Petit pays certes, le Sénégal est un pays laïc. La laïcité est un des principes fondateurs de la République. Comme on a l’habitude de le dire, pour rien au monde, les principes républicains ne devraient être considérés comme des acquis définitifs. Tout, absolument tout et à chaque instant, peut basculer dans un sens ou dans un autre - y compris dans le sens de la barbarie.

C’est plus que de notoriété publique, le spectacle des enfants mendiants et porteurs de pots en fer et de bols est affligeant, dramatique.

Il y a le récit de Cheikh Amidou Kane intitulé : « l’Aventure Ambigüe » avec les figures emblématiques de Thierno, le maître coranique et de Samba Diallo. A travers ce récit de l’ancien ministre Cheikh Amidou Kane, il y a toute la problématique de la mendicité.

Ceux qui mendient ne sont pas nécessairement des talibés. Au Sénégal, il y a les talibés – En Afghanistan, plus que meurtri, il y a les talibans.

Confiés à des maîtres coraniques, dans un autre contexte historique, les talibans vivaient à l’époque dans des daaras. A l’époque, le daara était une école d’endurance et de grande humilité. Entre autres, l’ONDH a eu à œuvrer au sein des daaras et en milieu carcéral. En milieu carcéral, il y encore des enfants.

Souvent, et de manière incantatoire on parle de perte de valeurs, de déviation. Ce qui est sûr, c’est qu’il y a précarité et extrême pauvreté. C’est parce que le monde marche et change dans la grande vitesse que les talibés sont instrumentalisés, exploités par de pseudos et véreux marabouts. Chaque jour que Dieu fait, on a droit à la relation de faits et pratiques humiliantes, dégradantes à tout point de vue.

La tradition, disait feu le professeur Cheikh Anta Diop, créateur du Laboratoire Radio Carbone, est le présent du passé. Faudrait-il occulter le passé ?

Pour ainsi dire, dans les longs rangs de la mendicité, il n’y a pas que des talibés. Au Sénégal, comme du reste un peu partout dans le monde, il y a des handicapés, des laisser-pour compte, des précarisés, des victimes.

En Europe, en Amérique, il ya les SDF (sans domicile fixe) qui font légion.

En France, qui a la belle et non usurpée appellation de patrie des Droits de l’Homme (1789), des Roms sont persécutés, déportés en Roumanie et en Bulgarie.

Sans faire dans la démagogie et comme qui dirait, nul ne mendie volontairement. Qu’on se le tienne pour dit.

Dans le registre des personnes vulnérables, il y a les malades mentaux et les petites « bonnes ». Au quotidien, ces petites et innocentes filles sont exploitées, humiliées. Il y a des cas de viols et d’agressions sexuelles dont on ne parle pas.

Pour se faire bonne conscience, il avait été dit que, pour l’essentiel, les mendiants ne sont pas des Sénégalais de naissance et/ou d’origine.

C’est l’occasion de le dire voire le marteler, les clichés et autres schémas réducteurs n’ont pas de frontières, n’ont jamais eu de frontières.

Pour ne pas se voiler la face ou jouer au Ponce Pilate, il faudrait inventer, imaginer une table ronde consacrée aux talibés, à la mendicité qui tend à se banaliser.

Avant la première alternance politique au sommet de l’Etat, il y eut des normes qui visaient l’encombrement dit humain et la curieuse norme avait été beaucoup critiquée. Nous sommes à l’heure des Nouvelles Technologies de l’Information et la Communication (NTIC) et du village global.

En matière de communication, il y aura toujours des précautions langagières à prendre.

Sans nécessairement remuer le terrible couteau dans la plaie, il faut rappeler des sanglants évènements qui opposèrent Sénégalais et Mauritaniens. Le fleuve Sénégal prend sa source en Guinée.

Dans toute la mesure du possible, pour tous les hommes politiques, la stigmatisation devrait être bannie. A tout un chacun, il faudrait donner des perspectives.

 

 

 

Papis SAMBOU

Journaliste – Consultant

oukout@hotmail.fr

 

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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 15:04

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                                             Lettre posthume d’un fils à son « Père »

DEUS CARITAS EST : La Paix perd un apôtre

« Père », je me souviens encore, comme si c’était hier, des premières déclinaisons latines que tu nous enseignais : Rosa – Rosae.  Oui, « tu » puisque tu ne voulais pas de vouvoiement entre nous. Grâce à toi nous sommes devenus ce que nous sommes. Nous te serons éternellement reconnaissants.

Grand pédagogue, Intellectuel émérite, je mesure en ce jour, la chance que j’ai eu de t’avoir comme « père» et directeur spirituel.

Me viennent à l’esprit tous ces dimanches où avec ta moto, nous nous rendions au village de Diagobel pour la célébration de l’Eucharistie. Nos longs échanges sur la vie, la religion, l’évolution du monde et lorsque tu insistais sur la nécessité d’avoir une nouvelle vision face aux mutations de ce monde marquées par la défiance, l’individualisme, l’égoïsme. Je ne puis aussi oublier les moments privilégiés  partagés avec toi au cours de mes visites au grand séminaire de Djibelor qui sera plus tard transféré à Brin.

Monseigneur, c’est avec un cœur meurtri que je prends ma plume pour rédiger ces quelques lignes puisque tu es parti sans rien me dire, sans me dire au revoir. Dans tous les cas, je ne t’en veux pas car je sais que tu souffrais même si tu ne voulais pas le faire savoir, je sais aussi que tu faisais des efforts inhumains pour paraître en forme pour ne pas que le peuple que le Seigneur t’a confié s’inquiète.

61 ans, une vie bien remplie au service du Seigneur et de son Eglise ; la verte Casamance vient assurément de perdre un de ses plus dignes et nobles fils. Un religieux sincère, honnête, humble doublé d’un intellectuel de dimension planétaire. Oui, tu aimais la Casamance, tu étais un adepte infatigable de la Paix véritable.

C’est le lieu, pour moi, de présenter mes condoléances les plus attristées à sa Sainteté le Pape Benoit XVI, à l’Eglise de Casamance, du Sénégal et du monde entier (Une et Universelle), à ta famille naturelle qui se trouve à Affiniam et que tu  m’as fais découvrir et aimer. 

«Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris, que le nom du Seigneur soit béni». Puisse-t-il t’accueillir dans sa demeure céleste, puisque tu l’as servi avec abnégation. Que la terre de Ziguinchor te soit légère et que le Seigneur t’accorde la grâce de partager avec la foule innombrable des saints et saintes les félicités célestes. ''Aujourd'hui même, tu sera avec Jésus au paradis!''.

Vas en paix pasteur ! Le Diocèse de Ziguinchor, l’Eglise de Casamance, la Casamance dans son ensemble te seront à jamais reconnaissants.

Je sais que du haut du ciel tu continueras de veilleur son ton peuple et sur le processus de paix en Casamance.

Pour terminer je voudrai méditer avec tous cette pensée sur la mort :  

C’est la grâce des grâces et le couronnement de notre vie chrétienne. Elle n'est pas une fin comme, hélas beaucoup le pensent encore, mais le commencement d'une belle naissance. Elle ne marque pas l'heure de la dissolution d'une créature, mais son véritable développement, son plein épanouissement dans l'Amour. Elle complète notre possession dans la vie divine, en supprime les obstacles, qui, ici-bas, nous empêchent d'en jouir à notre aise. Elle nous permet de vaquer librement à l'Eternel Amour, d'avoir conscience qu'Il se donne à nous et de demeurer à jamais en Lui...

 

Requiem æternam dona eis, Domine, et lux perpetua luceat eis. Te decet hymnus Deus, in Sion, et tibi reddetur votum in Jerusalem. Exaudi orationem meam; ad te omnis caro veniet. Requiem aeternam dona eis, Domine, et lux perpetua luceat eis.

 

"Donne-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière éternelle les illumine. Dieu, il convient de chanter tes louanges en Sion ; et de t'offrir des sacrifices à Jérusalem. Exauce ma prière, toute chair ira à toi. Donne-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière éternelle les illumine".

 

Papis SAMBOU

Journaliste – Consultant

oukout@hotmail.fr

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 16:01

 

Faut-il respecter un Président qui ne respecte pas ?

 

Respecter les institutions n'implique pas être obligé de respecter celui qui les traine quotidiennement dans la boue et est, en cela, aidé par des personnages aussi peu recommandables.

 

Le respect, ça se mérite, tout simplement! Or le comportement d’un Président qui n'hésite pas à diviser son peuple, à monter les uns contre les autres et à ne prendre la défense que des intérêts de la classe des possédants, ce Président là ne mérite aucun respect. C'est lui et lui seul qui a sali gravement la fonction que le peuple lui a confié et il est trop tard pour se prévaloir de celle-ci afin d'être protégé des critiques qui s'adressent à lui. Et encore, il un tel Président doit être heureux car en d'autres temps, on coupait les têtes qui se croyaient couronnées à jamais.

 

Et lorsque ce Président et son orchestre ne seront plus au pouvoir, personne n'aura de mot assez dur pour dénoncer leurs dérives et autres incompétences avérées. Qualifier ce genre d’individu de voyou aujourd'hui prend tout son sens. Et quoiqu’ironique soit le choix du mot, il demeure encore très respectueux de cette personne.

je dirais que pour respecter un chef d'Etat, faudrait-il qu'il soit respectable, d'une part, et d'autre part faudrait-il qu'il respecte ses gouvernés, en arrêtant de mentir, de les prendre pour des débiles, et de croire que le pays lui appartient et que ses administrés et les autres sont ses sujets. Si un Président fait de la fonction présidentielle, la chose la plus détestable qu'il soit, s’il fait de son pays, qui était en devenir, une véritable république bananière, alors ne vous faites aucune illusion, préparez vous, ce Président et son fan club doivent s’attendre à une traversée du désert que je souhaite personnellement sans retour.

Le fait d'avoir été élu par le peuple, ne permet pas d'être autorisé à être malhonnête... au contraire! Encore une fois : pour être respecté, il faut être respectable.

Nos hommes politiques on tendance à se croire supérieur aux autres et se croient tout permis, ils ont oubliés qu’ils ont été élu par nous autres les "gueux et gueuses" et qu'ils ont obligation "eux" de montrer l'exemple (ce qui est loin d'être le cas pour l'instant).

 

Comment respecter un Président qui n'a que mépris envers les autres ? Aujourd'hui dans bien de pays nous sommes en monarchie! Le gouvernement est inutile, le roi règne!

Je ne fais  qu'exprimer ce que pense une majorité de personnes que l'on n'entend pas et que l'on n'écoute pas.

Le respect pour le chef de l'Etat est le même que celui qu'il doit avoir pour son peuple...

Lorsqu’un Président de la République fragilise cette fonction, il montre sa vraie nature. Ce genre de dirigeant aurait été très bien à l'époque des pays de l'Est : pouvoir totalitaire, mépris des gens, surtout ceux qui n'ont pas d'argent, Il déshonore leur pays car il n'y aura jamais eu autant de différence entre les gens que depuis leur arrivée au pouvoir, hormis aux temps des seigneurs. Il faut voir comment ils ont terminés. Il n'y a que certains, les copains et privilégiés, qui s'accrocheront pour bénéficier des faveurs du roi.

Pour terminer, si un Président veut être respecté qu'il commence par respecter les citoyens de son pays (la répétition est parait-il pédagogique). Je crois que cela devrait être sa première mission.

Le respect se mérite et se construit au jour le jour ! Enfin, le fait d’être élu au suffrage universel ne lui accorde aucun blanc-seing lui permettant de mettre à bas les principes fondamentaux de ce qui constitue une République. Au contraire, ceux-ci s'imposent à lui et il est même payé pour les faire respecter.

 

 

Papis SAMBOU

Journaliste – Consultant

oukout@hotmail.fr

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